Vous allez dire, le Brésil pour le kite, c’est surfait, c’est déjà bourré de paradis. Oui MAIS ! Un petit spot tout discret est sorti de l’ombre il y a quelques mois (on vous en a même déjà parlé ici) : Pontal de Maceio.
Le genre de spot trop parfait : trop de bonnes températures, trop de flat, trop de vent parfait, trop personne… Ce coin là ne pouvait attirer que des gens trop chouettes ! C’est au (presque) hasard des rencontres que je suis tombée sur Dianne (IKO en formation) et Kaelig (BP Kite & IKO) il y a quelques jours. Après quelques fabuleux moments à Pontal de Maceio, ils ont décidé d’y élire domicile un partie de l’année avec leurs 2 petits choux blonds, et de réaliser leur projet école de kite et lieu de paradis : CocoKite.
Si cette vidéo vous fait le même effet que moi, je vous plains ! Je ne pense qu’à booker un billet d’avion depuis des jours, c’est insupportable !
Je jure devant mon chat que j’irai là-bas vous faire un report approfondi de ce paradis, ce n’est qu’une question de temps !
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La promesse COCOKITE :
– Du vent moyen et régulier
– De l’eau chaude à environ 30°
– Un spot de rêve avec de l’eau jusqu’au nombril
– Des moniteurs de choc !!
– Et pour finir « um agua de coco por favor »
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Et pour celles et ceux qui auraient la bonne idée d’y aller pour apprendre le kitesurf, ce témoignage d’une de leur récente stagiaire kite ne devrait pas trop vous freiner dans votre belle entreprise :
Florence Desbois est une expatriée française vivant à São Paulo avec son mari et ses deux enfants depuis deux ans et demi. Après avoir travaillé des années dans le milieu bancaire, elle a repris ses études et termine bientôt son master de psychologie tout en travaillant à l’Institut psychiatrique de l’hôpital das Clinicas à São Paulo. Elle nous raconte comment toute sa famille s’est mise au kitesurf l’an dernier dans le Ceara.
« Avant, quand je glissais, c’était sur mon carrelage. Ou bien sur les pavés de La Défense un jour de pluie. Je ne suis jamais montée sur un skateboard, je n’ai jamais fait de snowboard ou de windsurf (planche à voile pour les gens comme moi).
Aussi, au Brésil, lors ma première visite à Pontal de Maceio, alors que la quarantaine commençait à se faire plus discrète et la cinquantaine à s’annoncer sournoisement, je n’avais envisagé aucune activité sportive dans ce petit village de pêcheurs et de kitesurfeurs du Ceara. J’avais assez de bouquins sur ma tablette et de sommeil en retard pour occuper mes journées.
Prochaines vacances au même endroit
Mon planning, soumis à des contraintes incompressibles comme le choix du restaurant et le renouvellement des applications de crème solaire, était suffisamment exigeant. Je passais une semaine douce dans ma carte postale bleue et blanche, chauffée par le soleil et rafraîchie par les glaçons de ma caïpi.
Le retour à São Paulo fut sensiblement identique à tous mes retours de vacances : peau bronzée, trois kilos de plus, une déprime et l’organisation dès le lendemain des prochaines vacances. La routine. Rien ne supposait donc la transformation à venir. Même si cette fois, contrairement à d’habitude, je voulais retourner, pour mes prochaines vacances, au même endroit. »
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Allez, je vous laisse, j’attaque ma valise ! On se voit là-bas !
Bon… RVD à Roissy ?? 😀